Les jardins des villes
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Dans les jardins des villes
Le chant des oiseaux se confond avec le bruit des moteurs
La joye de vivre avec la mauvaise humeur
Et le clochard, qui n'a personne,
Dort à côté des amoureux
Là, des arbers de tous les coins se réunissent
Le cedre du liban, la sakura du japon,
Font compagnie au chêne et au sapin du mont
Et chacun sait bien qui sont ces compagnons
Dans les jardins des villes
S'amusent les pigeons gourmands de mietttes
S'envolent sur les gens souffrant de diabètes
Et les fourmies dans les vêtements, sans le savoir
Se sont inscrites pour un voyage sans retour
J'aime ces jardins où le temps s'arrête
Où les jeunes écrivent sur ses journaux intimes
Où les vieux se souviennent de l'avoir fait
Où je me débarasse de tous mes regrets