Les filles qui courent
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J'aime les filles qui courent
Je veux être le vent contre leur visage
Et faire partie du paysage
Qu'elles traversent
Les filles pressées, les anxieuses,
Les sportives comme les hâtives
Me font frémir d'amour
Dans les parcs comme dans les tours
Leurs regards déterminés
Affûtés comme une lame
Leur regards parfois perdus
Dans l'infini de leurs âmes
Une mission ? Une douleur ?
Un rendez-vous ? Un bonheur
D'amour ? Le désespoir d'une
désillusion ? Une perte, la mort ?
Une femme qui court n'a jamais tort
Selon mon cœur. S'éloigne, mon corps
Veut courir derrière elle
Et quand elles courent de joie vers moi
Il n'y a rien de plus beau dans la vie