Les jardins des villes: mudanças entre as edições

De Sexta Poética
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(écrit le 23 mai 2019 dans le jardin Compans-Caffarelli à Toulouse)
 
(plus drôle, plus poétique)
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Dans les jardins des villes
Dans les jardins des villes
Le chant des oiseaux se confond avec le bruit des moteurs
Le chant des oiseaux se confond avec le bruit des moteurs
La joye de vivre avec la mauvaise humeur
La joie de vivre avec la mauvaise humeur
Et le clochard, qui n'a personne,
Et le clochard, qui n'a personne,
Dort à côté des amoureux
Dort à côté des amoureux


Là, des arbers de tous les coins se réunissent
Là, des arbres de tous les coins se réunissent
Le cedre du liban, la sakura du japon,
Le cèdre du Liban, le sakura du Japon,
Font compagnie au chêne et au sapin du mont
Font compagnie au chêne et au sapin du mont
Et chacun sait bien qui sont ces compagnons
S'ils se communiquent, on ne sait pas comment


Dans les jardins des villes
Dans les jardins des villes
S'amusent les pigeons gourmands de mietttes
S'amusent les pigeons gourmands de miettes
S'envolent sur les gens souffrant de diabètes
S'envolent sur les gens souffrant de diabètes
Et les fourmies dans les vêtements, sans le savoir
Et les fourmis dans nos vêtements, sans le savoir
Se sont inscrites pour un voyage sans retour
Se sont inscrites pour un voyage sans retour


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Où les jeunes écrivent sur ses journaux intimes
Où les jeunes écrivent sur ses journaux intimes
Où les vieux se souviennent de l'avoir fait
Où les vieux se souviennent de l'avoir fait
Où je me débarasse de tous mes regrets
Où je me débarrasse de tous mes regrets
</poem>
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[[Categoria:Solstag]][[Categoria:Idioma francês]]
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Edição das 15h12min de 19 de agosto de 2019

Dans les jardins des villes
Le chant des oiseaux se confond avec le bruit des moteurs
La joie de vivre avec la mauvaise humeur
Et le clochard, qui n'a personne,
Dort à côté des amoureux

Là, des arbres de tous les coins se réunissent
Le cèdre du Liban, le sakura du Japon,
Font compagnie au chêne et au sapin du mont
S'ils se communiquent, on ne sait pas comment

Dans les jardins des villes
S'amusent les pigeons gourmands de miettes
S'envolent sur les gens souffrant de diabètes
Et les fourmis dans nos vêtements, sans le savoir
Se sont inscrites pour un voyage sans retour

J'aime ces jardins où le temps s'arrête
Où les jeunes écrivent sur ses journaux intimes
Où les vieux se souviennent de l'avoir fait
Où je me débarrasse de tous mes regrets